De droite à gauche, M. Gilbert Sebihogo (directeur exécutif de nanhri), représentant de l’ambassade de l’UE au Togo, M. Koffi Esaw (ministre de la Justice du Togo), M. Cisse Samdja Alilou (président de la Commission togolaise des droits de l’homme) et à l’extrême gauche, M. Jean Baptiste Niyizurugero (responsable du programme africain -APT).
Le Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme (NANHRI) et l’Institut danois des droits de l’homme (DIHR) organiseront une formation de trois jours sur la surveillance et la communication d’informations pour au moins 15 membres du personnel des institutions nationales africaines des droits de l’homme à Nairobi, au Kenya.
La formation en présentiel du 30 août au 1er septembre 2017 vient compléter le cours d’apprentissage en ligne de près d’un mois pour les participants, qui proviennent de 14 INDH.
Le directeur exécutif de la NANHRI, Gilbert Sebihogo, a déclaré que le personnel des INDH avait besoin d’une formation régulière pour l’aider à s’adapter à la situation changeante et difficile de la promotion et de la protection des droits de l’homme tels qu’ils sont décrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations unies de 1948.
« Je pense que c’est l’occasion pour nous de renforcer les capacités du personnel pour en faire une équipe orientée vers les résultats et qui s’attache à changer l’approche de la défense des droits de l’homme », a déclaré M. Sebihogo.
Le cours d’apprentissage mixte est en cours depuis juillet 2017. Le cours en présentiel complétera le cours d’apprentissage en ligne afin de donner au personnel déjà en poste de nouvelles compétences en matière de suivi et de rapports d’impact.
Cela fait partie des nombreuses initiatives de la NANHRI visant à faire participer des partenaires aux programmes de renforcement des 44 INDH en Afrique.
Le projet est parrainé par l’Union européenne par l’intermédiaire de l’Institut danois des droits de l’homme.
Les participants viennent d’Afrique du Sud, du Burkina Faso, du Burundi, du Cameroun, d’Égypte, du Kenya, de Mauritanie, de Maurice, du Niger, du Nigeria, de Tanzanie, du Togo, de Zambie et du Zimbabwe.
Le réseau prépare une formation similaire sur l’éducation aux droits de l’homme en octobre.
