enfrNetwork of African National Human Rights Institutions

Comité de pilotage

M. MOHAMED FAYEK, PRÉSIDENT DE NANHRI

M. Mohamed Fayek est le président du Conseil national des droits de l’homme d’Égypte. Il a été élu par l’Assemblée générale le 4 novembre 2019 au Caire, en Égypte, en tant que président du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme (NANHRI). Il est également à la tête du Comité directeur du NANHRI.

Un bref profil
  1. Président de l'Association des familles de la vallée du Nil.
  2. Membre du conseil d'administration de l'Organisation arabe des droits de l'homme (OADH), une organisation non gouvernementale qui défend les droits de l'homme dans le monde arabe.
  3. Vice-président du Comité égyptien pour la solidarité afro-asiatique.
  4. Membre du conseil d'administration de la Lebanese International University.
Postes précédents
Membre de la commission d'enquête des Nations unies sur le Darfour 2004-2005 (sous-secrétaire général des Nations unies). Commissaire aux droits de l'homme de l'Union africaine.
  1. Secrétaire général de l'Organisation arabe des droits de l'homme de 1986 à 2008 (fondateur avec d'autres).
  2. Président du conseil d'administration du journal Al ArabyNews.
  3. Ministre de l'information.
  4. Ministre d'État aux affaires étrangères.
  5. Ministre de l'orientation nationale.
  6. Chef de cabinet et conseiller du président pour les affaires africaines et asiatiques.
  7. Élu membre du Parlement égyptien pour deux mandats consécutifs dans la circonscription de « Kasr El-Nil » au Caire.

DR. HILARIOUS MUGWADI, NANHRI VICE-PRÉSIDENT

Le commissaire Elasto Hilarious Mugwadi est le vice-président du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme. Il est également le président de la Commission des droits de l’homme du Zimbabwe (ZHRC) après avoir été élu par l’Assemblée générale du NANHRI le 4 novembre 2019 au Caire, en Égypte.

Mme Mugwadi a prêté serment en 2010 avec le premier groupe de commissaires et est devenue présidente de la Commission ZHRC en 2014.

Le commissaire Mugwadi est titulaire d’une licence en administration (avec mention) de l’université de Rhodésie et d’une maîtrise en sciences (MSc) en relations internationales. Il est également titulaire d’un diplôme en études de développement de l’université d’Oslo, d’un diplôme intermédiaire en droit de l’UNISA, d’une licence en droit (UNISA) et d’une maîtrise en droit (UNISA).

Le commissaire Mugwadi est un ancien chef du service de l’immigration du Zimbabwe, ayant travaillé dans cette institution pendant 23 ans. Il est également avocat au cabinet Mugwadi and Associates depuis 2007.

Mme MADELEINE NIRERE

Mme Madeleine Nirere est l’ancienne présidente du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme, poste qu’elle occupe depuis novembre 2017. Mme Nirere, qui est également présidente de la Commission nationale des droits de l’homme du Rwanda, est la conseillère du Comité directeur du NANHRI.

Mme KAGWIRIA MBOGORI

Mme Kagwiria Mbogori est la présidente de la Commission nationale des droits de l’homme du Kenya.

Elle est membre d’office du comité de pilotage en vertu du fait que la KNCHR héberge le secrétariat du réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme.

Mme Kagwiria est une praticienne accomplie des droits de l’homme. Elle possède une vaste expérience professionnelle aux niveaux national et régional. À la tête de la Commission nationale des droits de l’homme, elle assure la direction stratégique de la mise en œuvre du plan stratégique de la Commission pour 2013-2018, qui se concentre sur la promotion d’une culture de respect des droits de l’homme au Kenya. Elle a fourni une orientation politique faisant autorité, conformément au mandat de l’institution nationale des droits de l’homme (INDH).

Mme Kagwiria est titulaire d’une maîtrise de droit de l’Université de Notre Dame, spécialisée dans les systèmes internationaux et régionaux de protection des droits de l’homme, le droit humanitaire international et la justice transitionnelle. Elle est diplômée en droit de l’université de Nairobi et détient un diplôme de troisième cycle de la Kenya School of Law.

Avant de rejoindre la KNCHR, elle a travaillé au Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) en tant que conseillère technique en chef pour le système judiciaire du Sud-Soudan, où elle était chargée de fournir une orientation stratégique au système judiciaire du Sud-Soudan en mobilisant des ressources, en établissant des partenariats stratégiques et en soutenant la liaison dans le secteur de la justice du Sud-Soudan.

Auparavant, elle a été chef de l’unité consultative de la Mission des Nations unies au Liberia (MINUL), responsable des droits de l’homme (MINUL), directrice du programme national du Fonds de développement des Nations unies pour la femme (UNIFEM) et directrice exécutive de la section kényane de la Commission internationale des juristes. Elle a également été consultante pour diverses institutions sur des questions de gouvernance.

Mme AMINA BOUAYACH

Mme Amina Bouayach a été nommée par Sa Majesté le Roi à la présidence du Conseil national des droits de l’homme du Maroc, en décembre 2018.

Au sein du comité directeur du réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme, elle représente les institutions nationales des droits de l’homme de la sous-région de l’Afrique du Nord.

COMMISSION DES DROITS DE L’HOMME DE L’OUGANDA

La Commission ougandaise des droits de l’homme représente la sous-région de l’Afrique de l’Est au sein du comité directeur. Le profil du nouveau président de la Commission ougandaise des droits de l’homme sera mis à jour en temps utile.

M. MWAMBA MWAMUS MUSHIKONKE

M. Mwamba Mwamus Mushikonke est le président de la Commission nationale des droits de l’homme de la République démocratique du Congo.

Au sein du comité directeur du réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme, il représente la sous-région de l’Afrique centrale.

M. ZACHARIAH MUDFORD MWANDENGA

M. Mudford Zachariah Mwandenga est le président de la Commission zambienne des droits de l’homme. Il a été élu pour représenter les institutions nationales des droits de l’homme de la sous-région d’Afrique australe au sein du comité directeur du réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme.

M. ANTHONY O. OJUKWU

Anthony O. Ojukwu est le secrétaire exécutif de la Commission nationale des droits de l’homme du Nigeria. Il est le représentant de la sous-région de l’Afrique de l’Ouest au sein du Réseau des institutions nationales africaines des droits de l’homme.

Avant cette nomination, il était directeur de la surveillance, anciennement directeur des services juridiques, directeur de la protection et des enquêtes et directeur du bureau du secrétaire exécutif de la Commission. Il a été assistant spécial du procureur général de la Fédération et ministre de la justice, ainsi que secrétaire administratif de la défunte commission électorale nationale de l « État d’Imo. Il a 32 ans d’expérience après son admission au barreau, dont 17 ans au sein de la Commission. Son expérience couvre les poursuites judiciaires, la gestion des élections et la pratique juridique privée. Il a obtenu une maîtrise en droit à l’université de Lagos en 1988, après avoir obtenu son premier diplôme en droit à l’université du Nigeria, campus d’Enugu, en 1985. Il a également fréquenté plusieurs institutions de formation aux droits de l’homme et a obtenu des certificats de Public Administration International London (2003) et du Programme international de formation aux droits de l’homme d’Equitas Canada (2007). Avant d’occuper son poste actuel à la Commission, il a notamment été assistant spécial du secrétaire exécutif de la Commission de l » époque, chef pionnier du département du suivi et des programmes externes et, par la suite, coordinateur de zone du bureau zonal de la Commission à Port Harcourt, dans le sud du pays. Il est connu pour être un défenseur avoué des droits de l’homme et pour son engagement en faveur de l’amélioration des systèmes, des services et des conditions de travail à la Commission nationale des droits de l’homme.